On n’en aura jamais fini avec Thomas Zins
Patrice Jean
La Revue littéraire, mars 2018
Comme tous les grands romans, Le triomphe de Thomas Zins, ressemble à une symphonie, dont la ligne mélodique principale, celle de Thomas Zins, serait complétée, enrichie, sublimée par d’autres lignes de vie, celle de son ami Benoît, celle de Céline (bien sûr), celle de Jean-Philippe Candelier (le tentateur diabolique), celles des copains, celle de Paul Zins (commandant, en Indochine, de l’armée française), celle de Serge Zins, le père généreux quoique sans espoir, et celle de beaucoup d’autres. Lire...